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Les attitudes clés pour garder la confiance de vos clients
Soigner la fidélisation avant la prospection
Avant de courir après de nouveaux clients, commencez par prendre soin de ceux que vous avez déjà. Un client satisfait, c’est bien. Un client qui vous recommande, c’est mille fois mieux.
Envoyez-leur un mot à la nouvelle année, informez-les des nouveautés, remerciez-les simplement. Un petit geste peut faire une grande différence.
Astuce : Créez un fichier client simple avec dates de dernière commande, préférences, etc. Cela vous servira à personnaliser vos échanges.
L’art de communiquer avec empathie
Un client ne cherche pas toujours une solution, parfois il veut juste être écouté. Pratiquez l’écoute active : écoutez, reformulez, questionnez. Mais attention : ne répétez pas mot pour mot. Reformulez pour montrer que vous avez compris le fond, pas juste les mots.
Parlez-lui de lui, de ses besoins, de ses envies. Cherchez les points communs pour créer une connexion humaine. Et surtout : restez vous-même, honnête, chaleureux, engagé.
Oui, même au téléphone, un sourire s’entend. Souriez avec sincérité, pas de manière mécanique.
La preuve, pilier de la confiance
Ne dites pas que vous êtes bon, montrez-le : témoignages clients, photos avant/après, articles, retours positifs, anecdotes… Chaque preuve renforce la crédibilité. Et si un client vous parle d’un concurrent ? Ne dénigrez jamais. Valorisez-le même, tout en expliquant pourquoi vos services sont mieux adaptés à ses besoins spécifiques.
Et si vous ne savez pas ? Dites-le ! Et promettez de chercher. Un client préfère un professionnel honnête qu’un imposteur qui improvise. C’est comme ça que la confiance se construit… et ne se perd pas.
Être responsable sans devenir le sauveur
Responsable, ça ne veut pas dire coupable. Si un problème survient, ne cherchez pas à vous justifier. Cherchez des solutions. Le client n’attend pas que vous soyez parfait, il attend que vous soyez présent et impliqué.
Mais attention : ne vous transformez pas en bouée de sauvetage. Fixez un cadre. Vous êtes là pour aider, pas pour vous sacrifier.
Les 4F : les piliers d’une relation client durable
La méthode des 4F — Fric, Flow, Form, Fun — n’est pas seulement bénéfique pour l’entrepreneur. Elle l’est aussi pour vos clients. Voici comment :
💰 Fric (Finances)
Optimiser votre rentabilité permet d’investir dans une meilleure qualité de service. Quand vous gérez bien votre budget, vous êtes plus disponible, plus serein… et donc plus à l’écoute. Pour le client, cela se traduit par un meilleur accompagnement, sans qu’il ait l’impression de se faire vider les poches.
🌊 Flow
Un entrepreneur stressé, débordé, donne une expérience chaotique à ses clients. Le flow, c’est rétablir de la fluidité dans vos process. Côté client, c’est un parcours clair, apaisé, sans mauvaise surprise. Comme une visite guidée où il sait toujours où il en est.
📐 Form
Le cadre que vous mettez en place (outils, process, connaissances) est un gage de sérieux. Bien informé, bien guidé, le client se sent en sécurité. Il comprend vos limites, vos délais, vos méthodes. Il a confiance car vous êtes organisé. Par exemple, une page Linkif bien pensée centralise vos infos essentielles : offres, contacts, ressources… et participe activement à cette bonne impression.
🎉 Fun
Vous aimez ce que vous faites ? Ça se sent. Et vos clients aussi ! Le fun, c’est le plaisir que vous transmettez dans la relation. C’est ce qui transforme une simple transaction en moment agréable. Et si en plus, le client repart avec le sourire… vous venez de marquer des points pour la vie.
Adoptez les 4F pour vous, et appliquez-les aussi à vos clients : informez-les (Form), simplifiez-leur la vie (Flow), proposez-leur un bon rapport qualité-prix (Fric), et faites en sorte qu’ils aient le sourire (Fun).
Conclusion & appel à l’action
Garder la confiance de vos clients, c’est un art. Et comme tout art, cela s’apprend. Une posture après l’autre. Une conversation après l’autre.
Et pour aller plus loin, abonnez-vous à la chaîne pour d’autres conseils concrets et motivants. C’est gratuit, utile et ça pourrait bien tout changer pour votre entreprise.
Parce qu’au fond, ce qu’on veut tous, c’est bosser bien… sans s’oublier.
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Peppol pour les micro-entrepreneurs : la révolution numérique… imposée
Imaginez une technologie si utile qu’elle vous est imposée, même si vous n’en avez pas besoin. Bienvenue dans le monde merveilleux de Peppol, où l’État belge a enfin trouvé le moyen de faire vibrer votre fibre entrepreneuriale… par la contrainte.
Table des matières
Statistiques clés
En 2025, seulement 10 % des entreprises belges étaient connectées à Peppol. Pourtant, dès le 1er janvier 2026, toutes les entreprises assujetties à la TVA devront passer par ce réseau pour émettre ou recevoir des factures B2B. Oui, même si vous envoyez 3 factures par an et que votre client préfère encore les pigeons voyageurs.
Le 1er janvier 2026, toutes les entreprises belges assujetties à la TVA devront émettre et recevoir des factures électroniques structurées pour toutes leurs transactions B2B. À condition de comprendre que « B2B » veut aussi dire : « même si vous n’émettez pas, vous recevrez ».
Autrement dit : si vous avez un numéro de TVA actif, vous êtes automatiquement concerné. Même si vous ne facturez que des particuliers, vous devrez tout de même pouvoir recevoir des e-factures de vos fournisseurs via Peppol.
Voici l’absurdité douce : l’obligation est officiellement pour le B2B, mais dès qu’un seul de vos fournisseurs utilise Peppol pour vous transmettre sa facture, vous devez être en mesure de la recevoir. Donc si vous pensez être à côté, vous êtes déjà dedans.
Ce qu’on vous vend VS ce que vous vivez vraiment
Ce qu’on vous vend : Moins de papier, plus de traçabilité, gain de temps, sécurité, norme européenne, incitant fiscal de 120 %. Bref, une révolution bienveillante qui vous veut du bien.
Ce que vous recevez :
- Des abonnements mensuels pour un logiciel de facturation que vous n’auriez jamais envisagé si on ne vous l’imposait pas.
- Du temps de configuration, de test et de réglage à répétition. Car non, ce n’est pas plug-and-play.
- Des erreurs de transmission que vous devrez comprendre, gérer et justifier, parfois sans support technique rapide.
- Une dépendance complète à un outil tiers pour envoyer une simple facture de 20€.
Et tout cela pour quelques factures par an ? Oui. Parce qu’on ne badine pas avec la modernisation. Même quand elle arrive avec des chaussons en béton.
Incitant fiscal : vrai cadeau ou déduction en trompe-l’œil ?
L’argument phare : 120% de déduction fiscale sur vos investissements en logiciel de facturation électronique.
Mais attention, le chiffre est flatteur, la réalité l’est moins. Prenons un exemple concret :
Exemple : Vous dépensez 200€ pour un abonnement annuel Peppol-compatible. La déduction fiscale vous permet de déduire 240€ au lieu de 200€, ce qui, en fonction de votre taux d’imposition, vous fera économiser entre 40 et 80€. Vous avez donc toujours dépensé 200€, mais « moins mal ».
Et bien sûr, il faut que ce soit bien enregistré en frais, que vous soyez bénéficiaire imposable et que vous sachiez où retrouver la facture du logiciel dans un an…
En clair ? Ce n’est pas un cadeau. C’est un pansement sur une jambe de bois.
« Je ne suis pas concerné » : le piège classique
Beaucoup de freelances ou petits indépendants se disent encore aujourd’hui : « Ah, mais moi je ne travaille qu’en B2C, donc pas concerné. » Malheureusement, le texte officiel est très clair :
« Vous ne travaillez que pour des clients particuliers ? Cette obligation ne s’applique pas aux factures envoyées à ces particuliers. Mais attention : vous devez pouvoir recevoir des factures électroniques structurées de vos fournisseurs. »
Traduction libre : vous n’envoyez peut-être rien, mais vous devez tout de même être équipé pour recevoir. Et ce dès qu’un fournisseur (peu importe sa taille) décide d’envoyer ses factures via Peppol.
Donc non, vous ne pouvez pas y échapper. Vous pouvez juste anticiper avec humour, intelligence et stratégie.
Comment préparer votre facturation sans perdre votre santé mentale
- 1. Évaluez vos besoins réels : Moins de 20 factures B2B par an ? Vous avez peut-être encore le temps de tester avant de vous engager.
- 2. Testez un outil gratuit : Des solutions comme odoo ou Accountable proposent des plans de base très corrects.
- 3. Activez votre Access Point Peppol : C’est ce qui vous connecte au réseau. Pas d’Access Point = pas de factures. Simple.
- 4. Formez-vous un minimum : Pas besoin de parler XML, mais comprendre la logique de la plateforme vous évitera bien des sueurs froides.
- 5. Gardez des PDF de secours : Tant qu’ils sont encore tolérés (jusqu’à fin 2025), assurez vos arrières.
Conclusion : entre humour et anticipation
Peppol, c’est une belle idée. Mais comme souvent, entre l’idéal technique et la réalité des indépendants, il y a un gouffre. Vous n’avez pas le choix de dire non. Mais vous pouvez choisir comment y aller : en courant dans le mur ou en construisant votre propre rampe d’accès.
Restez informé, testez, planifiez. Et surtout, gardez votre humour. Parce qu’en 2026, si on doit tous s’y mettre, autant le faire avec le sourire (jaune) mais les idées claires.
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Comment attirer plus de clients grâce à votre fiche Google Business
Vous passez des heures à chercher de nouveaux clients, mais avez-vous pensé à optimiser ce qui se trouve juste sous leur nez ? Chaque jour, des centaines de personnes cherchent exactement ce que vous proposez sur Google. Pourtant, la plupart des entrepreneurs négligent encore leur fiche Google Business, cette vitrine gratuite qui pourrait transformer leur visibilité locale.
Imaginez : des clients potentiels qui vous trouvent naturellement, sans effort de prospection, simplement parce que votre entreprise apparaît en premier dans leur recherche. C’est exactement ce que peut vous offrir une fiche Google Business bien optimisée.
Table des matières
Pourquoi votre fiche Google Business est cruciale
Quand un client cherche « restaurant italien près de moi » ou « plombier Lyon », Google lui présente d’abord les fiches business locales. Si la vôtre n’est pas optimisée, vous disparaissez au profit de vos concurrents.
Une fiche bien remplie agit comme un aimant à clients. Elle rassure immédiatement sur votre professionnalisme et permet aux prospects de vous contacter en un clic. Plus de 80% des consommateurs consultent ces fiches avant de choisir un prestataire local.
Contrairement aux annonces payantes, votre fiche Google Business travaille pour vous 24h/24, gratuitement. C’est votre commercial digital le plus rentable.
Commencez par vérifier que toutes vos informations sont exactes et complètes. Nom de l’entreprise, adresse, numéro de téléphone, horaires d’ouverture : chaque détail compte pour Google et pour vos clients.
Rédigez une description qui parle directement à votre client idéal. Plutôt que « Nous sommes une entreprise de qualité », écrivez « Nous aidons les propriétaires du 6ème arrondissement à rénover leur salle de bain en 5 jours, sans stress ni mauvaises surprises ».
Choisissez vos catégories avec précision. Google utilise ces informations pour déterminer quand afficher votre fiche. Une catégorie mal choisie peut vous faire passer à côté de nombreux clients potentiels.
L’impact des photos et vidéos
Les entreprises avec des photos reçoivent 42% de demandes d’itinéraires en plus et 35% de clics supplémentaires vers leur site web. Vos visuels racontent votre histoire avant même que le client ne vous contacte.
Publiez des photos de votre équipe au travail, de vos réalisations, de vos locaux. Montrez l’envers du décor, l’humain derrière l’entreprise. Les clients achètent autant à une personne qu’à une entreprise.
Pensez à ajouter régulièrement de nouvelles images. Google favorise les fiches actives et vos clients aiment voir que votre entreprise est vivante et dynamique.
Les avis clients : votre meilleur levier
88% des consommateurs font autant confiance aux avis en ligne qu’aux recommendations personnelles. Vos avis Google sont votre preuve sociale la plus puissante.
N’ayez pas peur des avis négatifs occasionnels. Une entreprise avec uniquement des 5 étoiles paraît suspecte. Ce qui compte, c’est votre façon de répondre aux critiques constructives. Une réponse professionnelle et bienveillante rassure plus qu’elle ne décourage.
Encouragez naturellement vos clients satisfaits à laisser un avis. Un simple « Si vous êtes content de notre service, n’hésitez pas à le partager sur Google » peut faire des merveilles.
Publier régulièrement du contenu
Google Business permet de publier des actualités, offres spéciales, événements. Cette fonctionnalité transforme votre fiche en mini-site web dynamique.
Partagez vos nouvelles réalisations, vos promotions saisonnières, vos conseils d’expert. Chaque publication renforce votre expertise et maintient votre visibilité.
Une entreprise qui publie régulièrement montre qu’elle est active et fiable. C’est exactement le type de signal que Google adore récompenser dans ses classements.
Google Business offre des statistiques précieuses : combien de personnes voient votre fiche, cliquent sur votre numéro, demandent un itinéraire. Ces données vous révèlent comment les clients vous trouvent.
Si vous recevez beaucoup de demandes d’itinéraires mais peu d’appels, peut-être que votre numéro n’est pas assez visible. Si vos photos sont peu consultées, il est temps de les renouveler.
Utilisez ces insights pour ajuster votre stratégie. Chaque amélioration, même minime, peut débloquer de nouveaux clients.
Conclusion
Votre fiche Google Business n’est pas juste un annuaire en ligne. C’est votre vitrine digitale la plus consultée, votre commercial le plus rentable, votre porte d’entrée vers de nouveaux clients.
Optimiser cette fiche ne demande que quelques heures, mais les bénéfices durent des mois. Pendant que vous hésitez, vos concurrents attirent peut-être les clients qui vous cherchaient.
Commencez dès aujourd’hui par vérifier vos informations de base, ajouter quelques photos de qualité et encourager vos clients satisfaits à partager leur expérience. Votre future croissance commence par ces premiers pas simples mais décisifs.
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Hug your haters
« Embrassez vos détracteurs » en français.
Un livre écrit par Jay Baer, un entrepreneur et expert en marketing. Le livre explore la manière de gérer les critiques et les plaintes des clients dans l’ère numérique et propose des stratégies pour transformer les situations négatives en opportunités positives.
Introduction
Dans le monde concurrentiel de la restauration, les critiques et les plaintes des clients peuvent sembler décourageantes. Cependant, le livre « Hug Your Haters » de Jay Baer offre une perspective différente, encourageant les entrepreneurs du secteur à considérer ces commentaires négatifs comme des opportunités d’amélioration et de croissance. Dans cet article, nous explorerons les principaux enseignements de ce livre et leur application dans votre entreprise de restauration, en mettant l’accent sur les aspects marketing, la gestion, la recherche client et la satisfaction client.
1. Écoute active et engagement en ligne
Dans un monde où les médias sociaux dominent, il est essentiel de surveiller attentivement ce que les clients disent en ligne. En écoutant activement et en répondant de manière proactive aux critiques, vous montrez aux clients que vous vous souciez de leur expérience et que vous êtes prêt à rectifier les problèmes éventuels. Utilisez des outils de surveillance en ligne pour rester à l’affût des mentions de votre entreprise de restauration et répondez rapidement et de manière empathique aux commentaires, que ce soit sur les réseaux sociaux, les sites d’évaluation ou les plateformes de réservation.
2. Transformer les critiques en opportunités de croissance
Au lieu de voir les critiques comme des attaques personnelles, utilisez-les comme des opportunités pour améliorer votre entreprise. Identifiez les tendances et les problèmes récurrents mentionnés par les clients et utilisez ces informations pour apporter des changements positifs. Publiez des réponses publiques aux critiques négatives en offrant des solutions et en montrant que vous prenez au sérieux les préoccupations des clients. Non seulement cela améliorera votre réputation en ligne, mais cela encouragera également d’autres clients à vous donner une chance.
3. La recherche client pour une expérience améliorée
La recherche client est un aspect crucial de la gestion d’une entreprise de restauration prospère. Utilisez les commentaires et les critiques des clients pour comprendre leurs attentes, leurs préférences et leurs besoins. En comprenant votre clientèle, vous pouvez adapter votre menu, votre service et votre ambiance pour offrir une expérience unique et personnalisée. Utilisez des sondages, des commentaires en ligne et des interactions en personne pour recueillir des informations précieuses sur ce que vos clients apprécient et sur les domaines dans lesquels vous pouvez vous améliorer.
4. Satisfaction client et bouche-à-oreille positif
En mettant en pratique les principes de « Hug Your Haters », vous pouvez améliorer la satisfaction de vos clients et favoriser le bouche-à-oreille positif. Les clients qui voient que vous vous souciez de leur expérience sont plus susceptibles de devenir des ambassadeurs de votre entreprise. Encouragez les clients satisfaits à laisser des commentaires positifs en ligne et à recommander votre restaurant à leurs amis et à leur famille. En traitant les critiques de manière proactive et en offrant un excellent service client, vous pouvez cultiver une réputation solide qui vous aidera à attirer de nouveaux clients.
Conclusion:
Ce livre est l’un de ces « incontournables », car il ne se contente pas de vous expliquer pourquoi, mais aussi comment vous pouvez gérer les personnes qui expriment leur mécontentement à l’égard de votre service ou de votre produit, que ce soit en privé ou sur un forum public.
Jay Baer est l’auteur de Hug Your Haters. Il a collaboré avec une entreprise d’analyse de données pour recueillir des informations prouvant les avantages de prendre en compte les plaintes plutôt que de les ignorer. Les données collectées comprenaient notamment le pourcentage de plaintes en ligne et hors ligne, ainsi que leur répartition par âge.
L’ouvrage débute avec un message essentiel : répondez à toutes les plaintes de vos clients, quelles qu’elles soient. Un client qui se plaint est un client qui s’intéresse à votre entreprise. Après tout, ne serait-il pas plus facile de simplement passer son chemin au lieu de pointer du doigt les problèmes et de vous encourager à les résoudre ? Le fait qu’ils vous exposent leurs problèmes démontre qu’ils sont probablement disposés à vous donner une chance de rectifier les choses et de continuer à vous soutenir.
Par conséquent, répondez toujours à leurs plaintes, peu importe la situation. Écoutez attentivement leurs doléances. Si vous avez commis une erreur, reconnaissez-le et faites de votre mieux pour la réparer et les satisfaire. Prenez exemple sur Le Pain Quotidien, une chaîne de boulangeries-restaurants, qui a su transformer des critiques négatives en avantages pour l’entreprise. Lorsqu’un de leurs établissements a reçu de terribles avis, le responsable a choisi de ne pas se contenter de s’excuser ou d’ignorer les plaintes. Il a offert aux clients mécontents une carte-cadeau pour les inciter à visiter une autre succursale et à constater une amélioration.
Cette approche a permis de fidéliser ces clients à la marque. N’oubliez pas que l’acquisition d’un nouveau client coûte plus cher que de conserver un client existant. De plus, cette démarche a également permis d’obtenir des retours honnêtes et impartiaux.
Vous pourriez également vous demander ce que pensent ces personnes à la recherche de quelque chose de gratuit. Un gérant de pizzeria a répondu à cette question en affirmant qu’il existe en effet une petite partie de personnes qui pourraient essayer de vous tromper. Mais la plupart des personnes qui se plaignent sont légitimes, et les chances valent la peine d’être prises. Si vous les ignorez en les considérant comme des fraudeurs cherchant à profiter gratuitement, vous risquez de perdre de véritables clients.
Baer divise vos détracteurs en deux catégories : ceux qui se manifestent publiquement et ceux qui préfèrent des moyens plus traditionnels comme le téléphone ou l’e-mail. Les détracteurs publics sont ceux qui expriment leurs plaintes sur les réseaux sociaux et les forums, tandis que les détracteurs privés optent pour des canaux plus classiques. Les détracteurs publics cherchent avant tout une gratification instantanée, tandis que les détracteurs privés sont plus mesurés et patients. Les premiers cherchent à s’adresser à un public, tandis que les seconds veulent simplement résoudre leurs problèmes. J’apprécie que ce livre fasse cette distinction. Si vous ne raccrocheriez pas au nez d’un client qui vous appelle, pourquoi ignoreriez-vous un message sur Twitter ou Facebook ?
Baer mentionne également une zone souvent négligée par les entreprises, mais qui peut réellement renforcer leur réputation : les forums. C’est là que vous trouverez les personnes les plus passionnées par votre service ou votre produit. Elles en discutent en détail, soulignent les bogues et bien plus encore. Répondre sur ces forums aura un impact aussi longtemps que le forum existera. Cela améliorera également l’image de votre entreprise auprès de ceux qui l’apprécient. Baer évoque également les avantages de l’auto-assistance, car de nombreux clients de nos jours préfèrent résoudre eux-mêmes leurs problèmes. Une page FAQ ne peut jamais être trop détaillée.
Il propose des stratégies détaillées pour faire face aux plaintes tant sur scène que hors scène. Pour les plaintes hors scène, vous devez utiliser le même canal par lequel le client vous a contacté, résoudre le problème le plus rapidement possible avec un minimum de réponses et faire preuve d’humanité. Il est également recommandé d’unifier vos données sur le client, telles que le nombre de fois où il vous a contacté auparavant ou ses coordonnées personnelles. Une statistique intéressante ici est que les clients sont deux fois plus susceptibles d’utiliser à nouveau votre service ou votre produit si vous résolvez leur problème dès le premier contact.
Pour les détracteurs sur scène, vous devez d’abord trouver toutes les mentions de votre entreprise ou de votre produit. Les gens peuvent ne pas utiliser votre hashtag ou votre identifiant lorsqu’ils vous mentionnent, mais il existe des logiciels qui se concentrent sur la recherche des bons mots-clés. Pour les franchises et les entreprises disposant d’un emplacement physique, l’utilisation d’un logiciel qui affiche les tweets ou les commentaires Facebook dans une zone spécifique peut aider à trouver davantage de mentions. Vous devez également vous assurer que votre réponse est publique.
Une préoccupation courante concerne ceux qui cherchent simplement à attirer l’attention, plutôt que de résoudre leur problème. Baer a une stratégie simple : ne répondez que deux fois. Au-delà, la conversation change souvent de sujet ou se dégrade. Sa règle d’or est de ne jamais répondre plus de deux fois au même client concernant le même problème sur un canal public.
Enfin, en ce qui concerne les médias sociaux, un tweet ou un commentaire peut être insuffisant pour résoudre un problème. Par exemple, la limite de caractères peut vous empêcher de répondre de la manière dont vous le souhaitez. Dans de tels cas, il est judicieux de leur répondre publiquement en leur demandant de changer de canal et en indiquant la raison de cette demande.
Dans l’ensemble, j’ai vraiment apprécié la lecture de ce livre car il a fourni de nombreux aperçus sur la manière dont la technologie a changé l’industrie du service client. Voici les principaux enseignements que j’ai tirés de ce livre :
Ne pas répondre à vos clients implique que vous ne vous souciez pas d’eux, tandis que résoudre avec succès un problème peut promouvoir votre entreprise 20 fois plus que la publicité classique.
Ne sous-estimez pas le pouvoir du bouche-à-oreille !
Les détracteurs hors scène sont ceux qui se plaignent par téléphone, par e-mail et sur d’autres canaux privés. Ils se soucient davantage de la résolution du problème. Les détracteurs sur scène sont ceux qui se plaignent sur les médias sociaux, les sites d’avis et d’autres canaux publics. Ils veulent un public et veulent également que leur problème soit résolu rapidement.
Répondez toujours le plus rapidement possible à vos détracteurs hors scène. Si vous commencez à répondre à vos détracteurs sur scène (et vous devriez le faire !), vous devez le faire de manière cohérente. Vous ne pouvez pas répondre à un seul message ou tweet et ignorer les autres.
Ne prenez pas les plaintes personnellement.
En tant qu’entreprise, il est essentiel d’être empathique et patient envers vos clients. Unifiez vos données pour éviter d’importuner vos clients en leur demandant les mêmes informations à plusieurs reprises. Utilisez le même canal que votre détracteur hors scène pour lui répondre. Ne répondez jamais plus de deux fois aux détracteurs sur scène pour ne pas nourrir les trolls. N’hésitez pas à changer de canal si nécessaire. L’avenir du service client passe par l’auto-assistance et les pages FAQ pour réduire les plaintes. Les applications de messagerie mobile et les services communautaires sur des plateformes comme les forums joueront également un rôle majeur.
Beaucoup de ces conseils peuvent sembler évidents, mais vous seriez surpris de voir combien peu d’entreprises les mettent en pratique. Pour réussir en tant qu’entreprise, vous devez exceller dans le service client, et les points abordés par l’auteur soulignent parfaitement cette importance.
Ceci n’est qu’un bref résumé de ce livre à lire absolument 😜
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La fantastique histoire du bambou de Chine : il existe en Chine une variété de bambou qui, une fois planté, ne donne rien, absolument rien la première année. La deuxième année ne donnant pas mieux, il faut attendre la troisième année pour ne voir aucun changement, car ce n’est qu’au terme de la quatrième année d’apparente léthargie qu’une pousse sortira de terre pour ne cesser de grandir et s’épanouir pour atteindre très rapidement des hauteurs impressionnantes de plus de 10 mètres. De l’ombre à la lumière, travailler dans l’obscurité avant de s’offrir au visible, tel est le secret de ce bambou qui durant ces premières années semblait ne rien faire, mais pourtant préparait son devenir en développant ses racines pour créer des bases solides suffisamment stables et denses pour permettre sa croissance rapide et son évolution fulgurante. Ce n’est pas parce que nous ne voyons rien, que nous ne percevons pas les choses immédiatement, que rien ne se passe, et parfois, les changements semblent rapides, car ils se perçoivent brusquement, alors qu’en réalité, il est le résultat d’un travail intérieur et d’une plus lente évolution, car ces changements qui nous affectent ne s’effectuent pas toujours de façon linéaire. Et je ne sais pas si tu te vois plus comme un champignon, une truffe délicieuse et rare enfouie sous terre, cachée de tous, ou comme un magnifique pouce de bambou qui reçoit la lumière et peut maintenant s’accorder à grandir, évoluer, prospérer, forte de ses racines bien ancrées dans le sol ?
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Dans le monde des affaires, l’e-mail est devenu un moyen de communication essentiel. Il permet de gagner du temps et de l’argent, mais il peut aussi être source de confusion et de malentendus. Avant d’appuyer sur « envoyer », il est important de prendre quelques instants pour s’assurer que l’e-mail est clair, précis et professionnel.
Voici une liste de contrôle pour vous aider à vérifier votre e-mail avant de l’envoyer.
1. À qui l’e-mail est-il destiné ? Avant d’envoyer un e-mail, assurez-vous qu’il est destiné à une seule personne. Si l’e-mail est destiné à un groupe, assurez-vous de bien comprendre qui est sur votre liste de destinataires.
2. Vérifiez votre liste de destinataires Vérifiez que les personnes en copie ont été ajoutées intentionnellement et que chaque personne sur la liste s’est vraiment et vraiment engagée. Si elles ne se pas concernées, enlevez-les !
3. Si l’email est à destination d’un groupe, Toutes les personnes du groupe sont-elles d’accord de diffuser leur adresse email aux autres membre de ce groupe. Toute le pertinence de l’utilisation de CC (copie carbone) et CCI (copie carbone invisible).
4. Si vous répondez à un email de groupe, votre réponse est-elle pertinente pour tous les autres membres du groupe? attention à l’utilisation du bouton “répondre” ou “répondre à tous”
5. L’e-mail provient-il d’une personne réelle ? Assurez-vous que l’e-mail provient d’une personne réelle et que le bouton « Répondre » renverra une note à cette personne.
6. Le ligne d’objet permet-elle de comprendre le contenu ou de retrouvé l’email lors d’une recherche?
7. Avez-vous déjà correspondus avec cette personne ? Vérifiez si vous avez déjà correspondus avec cette personne. Si non, reconsidérez l’e-mail.
8. S’agit-il d’un e-mail d’appel à froid ? Si c’est le cas, assurez-vous qu’il est le bienvenu et qu’il n’est pas considéré comme du spam.
9. Êtes-vous en colère ? Si vous êtes en colère, enregistrez votre e-mail comme brouillon et revenez-y plus tard, lorsque vous serez plus calme.
10. Pourriez-vous mieux transmettre votre message avec un appel téléphonique ? Parfois, un appel téléphonique peut être plus approprié pour transmettre un message important.
11. Est-ce que vous êtes prêt à partager tout le contenu de l’e-mail ? Vérifiez si vous êtes prêt à partager tout le contenu de l’e-mail avec tous les destinataires.
12. Est-ce que l’e-mail est bien structuré ? Qu’il est en caractères noirs à une taille normale et qu’il ne contient pas de parties en majuscule.
13. La ou les pièces jointes ne sont-elles pas trop grosses pour être envoyées?
14. Avez-vous inclus vos coordonnées en bas de l’e-mail ?
15. Êtes-vous respectueux de l’environnement ? Pensez à inclure la ligne «S’il vous plaît, sauvez la planète. Ne pas imprimer cet e-mail».
16. L’e-mail pourrait-il être plus court ? Est il possible de le rendre plus concis? Si oui… allez y!
17. Bonus: Si je devais payer 52 cent pour envoyer cet email, le ferais-je?